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![]() Vous voyez cette charrette bringuebalante qu’on appelle la France ? Quatre bourrins exténués, un peuple râleur comme une gastro un lendemain de cassoulet, traînent le tout tant bien que mal sur les chemins défoncés de la mondialisation. Les roues grincent, les essieux chialent, les pneus sont lisses, et les chevaux ont la gueule d’un Smicard un 15 du mois. Et là-dessus, posée comme une crotte sur un flan, qui trouve-t-on ? Macron. Emmanuel. Le freluquet jupitérien. Une mouche. Pas une belle, dodue et honnête mouche à bouse, non. Une mouche à costard, qui bourdonne avec un accent de l’ENA, l’air de rien mais partout à la fois. Il vole au-dessus du peuple, ne fout rien, mais donne des ordres comme s’il poussait la charrette avec ses ailes en papier. — « Mais avancez, tas de fainéants ! » qu’il crie, la bête. — « Débloquez-vous les genoux, les Gaulois réfractaires ! » — « J’ai traversé la rue et j’ai vu du boulot, alors hop hop hop, au turbin ! » Pendant que les chevaux transpirent la misère, lui voltige, lustré comme un couvercle de benne à ordures, pond ses petites lois, pique du sucre chez Rothschild et pète dans la soie en appelant ça "restructuration économique". Il parle de "transition", de "modernité", de "rupture", pendant qu’on bouffe des nouilles au ketchup. Mais dès que la carriole s’enlise dans la gadoue des manifs, des crises agricoles ou des hôpitaux qui tombent en ruine, hop ! Notre Macron, la mouche du coche, vient tournoyer au-dessus en disant : — « C’est pas moi, c’est l’héritage », — « Ce n’est pas une pénurie, c’est une sobriété heureuse », — « J’écoute, mais j’irai jusqu’au bout. » Et pendant ce temps, les roues craquent, la France gémit, les chevaux crèvent, et lui ? Il s’envole vers l’ONU ou Bruxelles pour faire le dindon sérieux avec les autres mouches dorées. Mais une chose est sûre, camarades : le jour où le coche se renversera dans le ravin, faudra pas chercher qui conduisait, mais bien qui bourdonnait le plus fort sans jamais foutre un coup de sabot. hein? oui je sais c'est difficile ![]() | ||
![]() ![]() Les aventures de la méluche révolutionnaire (avec nos sous) qui prétend que la langue française n'appartient plus aux français....tant de provoc me fait penser qu'il "tape dans les boites" qu'il nage dans une pseudo nouvelle jeunesse, tenu par son appendice vieillissant..... ![]() | ||
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