Je suis le curieux, l'insatisfait, le poseur de questions sur le monde et la vie...
Mangeur de cochon et buveur de vins
(bonne cochonnaille et très bons vins, de préférence !),
je suis aussi, quel paradoxe !
fasciné par les Soufis, les Bektashis et tous les chercheurs mystiques...
Mon ciel et ma terre ne sont que questions, étonnements, crainte...
Depuis toujours, ma grande ambition fut, et reste, de mourir moins idiot
que je n'aurai vécu...
J'aime l'étude austère et tout autant la grâce et les parfums des femmes,
ce que je hais c'est la suffisance, la méchanceté, le mensonge, la trahison...
Mon ciel et ma terre sont ouverts sur le ciel et la terre de tous les hommes et toutes les femmes,
je ne veux pas quitter cette vie sans avoir fait le plein de belles amitiés et d'heureuses rencontres...
Comblé en amour, je refuse l'enfermement dans le cocon du couple...
Ma famille est vaste comme l'assemblée des chercheurs de vérité
et des artisans de paix,
c'est la famille des embellisseurs du monde...
Mon âme est assoiffée d'un vin de jouvence capable de laver mon coeur, et tous les coeurs, de tous les chagrins, puis de les embraser du plus immense amour.
Ce texte est une bouteille lancée sur la mer des médiocrités comme des espoirs les plus fous !
Puisse-t-il, au rythme de la houle et au chant de la vague,
entrer en résonance avec quelques âmes sur Terre, en cette vie...
Avec la vôtre ?
Je vous espère...
Mangeur de cochon et buveur de vins
(bonne cochonnaille et très bons vins, de préférence !),
je suis aussi, quel paradoxe !
fasciné par les Soufis, les Bektashis et tous les chercheurs mystiques...
Mon ciel et ma terre ne sont que questions, étonnements, crainte...
Depuis toujours, ma grande ambition fut, et reste, de mourir moins idiot
que je n'aurai vécu...
J'aime l'étude austère et tout autant la grâce et les parfums des femmes,
ce que je hais c'est la suffisance, la méchanceté, le mensonge, la trahison...
Mon ciel et ma terre sont ouverts sur le ciel et la terre de tous les hommes et toutes les femmes,
je ne veux pas quitter cette vie sans avoir fait le plein de belles amitiés et d'heureuses rencontres...
Comblé en amour, je refuse l'enfermement dans le cocon du couple...
Ma famille est vaste comme l'assemblée des chercheurs de vérité
et des artisans de paix,
c'est la famille des embellisseurs du monde...
Mon âme est assoiffée d'un vin de jouvence capable de laver mon coeur, et tous les coeurs, de tous les chagrins, puis de les embraser du plus immense amour.
Ce texte est une bouteille lancée sur la mer des médiocrités comme des espoirs les plus fous !
Puisse-t-il, au rythme de la houle et au chant de la vague,
entrer en résonance avec quelques âmes sur Terre, en cette vie...
Avec la vôtre ?
Je vous espère...
tout a commencé en visionnant un reportage tv....
la journaliste cherchait à dénicher le propriétaire d'une très grande exploitation agricole.
Déjà, beaucoup de discrétion lors de la transaction. Comme de plus en plus il faut des intermédiaires...
Mais la télé peut se montrer accrocheuse, quand elle cherche la petite bête...
Finalement elle a trouvé le nouveau proprio.
Très calme, bien préparé, il a comparé son domaine à un super marché face à des petites épiceries...
Il a ajouté que comparé au monde, sa surface restait modeste...
Alors, en y réfléchissant bien, quel est le calcul, les intentions du gentleman farmer ?
Et si comme au bon vieux temps pré révolutionnaire; il souhaitait simplement gérer son domaine, quitte à employer une main d'oeuvre
bon marché (étrangère) qui le libérerait des tâches fatigantes et peu valorisantes...
Les exemples existent déjà dans ce bas monde, et la manne européenne distribuée au prorata de la surface cultivée doit en
faire rêver plus d'un....
Déjà la taille des vignes est réalisée par de petites mains, alors ?
Avec un tracteur guidé infailliblement par GPS, pas besoin d'une formation hi tech, un brave employé, lui dicter les tâches, gérer en bon père de famille,
et là ce ne serait pas le bonheur ?
la journaliste cherchait à dénicher le propriétaire d'une très grande exploitation agricole.
Déjà, beaucoup de discrétion lors de la transaction. Comme de plus en plus il faut des intermédiaires...
Mais la télé peut se montrer accrocheuse, quand elle cherche la petite bête...
Finalement elle a trouvé le nouveau proprio.
Très calme, bien préparé, il a comparé son domaine à un super marché face à des petites épiceries...
Il a ajouté que comparé au monde, sa surface restait modeste...
Alors, en y réfléchissant bien, quel est le calcul, les intentions du gentleman farmer ?
Et si comme au bon vieux temps pré révolutionnaire; il souhaitait simplement gérer son domaine, quitte à employer une main d'oeuvre
bon marché (étrangère) qui le libérerait des tâches fatigantes et peu valorisantes...
Les exemples existent déjà dans ce bas monde, et la manne européenne distribuée au prorata de la surface cultivée doit en
faire rêver plus d'un....
Déjà la taille des vignes est réalisée par de petites mains, alors ?
Avec un tracteur guidé infailliblement par GPS, pas besoin d'une formation hi tech, un brave employé, lui dicter les tâches, gérer en bon père de famille,
et là ce ne serait pas le bonheur ?

On a parfois l’impression que le monde est fait de choses qu’on subit, les tremblements de terre, les inondations, les guerres, la télé réalité, et plus récemment le Corona virus, mais il est important de se souvenir qu’il y à des choses qu’on maitrise, comme le pardon, une deuxième chance, un nouveau départ, parce que la seule chose qui transforme le désert de solitude qu’est le monde en un endroit merveilleux, c’est l’Amour, l’Amour sous toutes ses formes, l’Amour nous donne l’espoir de sortir de cette crise, de sortir grandi, gardez l’espoir 

Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
Je me croyais malin car j’étais un valide
Valide avec un U pourtant je n’étais rien
Car lorsque je l’ai vu, elle était invalide
Valide avec un I, elle était tout, moi rien.
Je me sentais petit en la regardant faire
Pour une tache à faire, j’étais un vrai looser
Elle n’hésitait jamais car elle savait tout faire
Sur terre comme sur mer elle n’était que leader.
Près d’elle j’ai appris, la vie est un combat
Qu’il convient de gagner avant de l’engager
Avec elle on avance sans faire trop de débats
Ou alors c’est après que l’on peut deviser.
Quand l’enjeu est atteint, le défi relevé,
Elle vous dit : c’est gagné, allons nous reposer.
J’ai une pensée plus qu’affectueuse pour mon amie Joëlle notre Yaourt que vous connaissez tous elle est train de se battre contre une ennemie pas facile à lire la météo, afin de pouvoir réaliser son troisième défi un peu comme la quadrature du cercle je sais qu’elle va y arriver on pourra bientôt lire dans la presse elle a réussi son défi « le Sterenn Armor » , parce qu’avec elle, il ne peut pas y avoir d’échec.
Bon vent mon joli Yaourt , j’ai écris quelques mots, quelques vers pour te rendre hommage.