quel dommage! ce n'était qu'un rêve...il s'étira, la tête se vidant lentement des dernières images sucrées.
Enfui le jeune homme à la peau brune , aux dents lumineuses, à la bouche gourmande et intrusive....
Chienne de vie, chienne de faire valoir de chirurgie faciale.....de robe hypocrite, de sexe vieillot et rabougri..
Et pourtant, aurais je autant réussi sans "iel" ? probablement pas ...mais le temps du bilan de son poste
qui s'achevait, était venu....
il imaginait pouvoir escalader la dernière marche possible; la conquête des états unis ...
Ce serait plus simple avec un veuvage providentiel, qu'il ne souhaitait pas certes, mais les temps changeaient lentement...
La pensée humaine est discontinue, oublieuse, revancharde, contradictoire, opportuniste surtout....
Il était un symbole , une ivresse du tout possible, de l'enfant sans sexe pré établi....il était aujourd'hui le symbole du reflux,
des prémisses d'une marée plus conservatrice....
La bougie de son règne allait être soufflée trop tôt à son goût...la découverte que la fuite rapide vers de multiples découvertes ne ralentissait pas les aiguilles impitoyables du temps....
Il vieillissait...ils vieillissaient . Les organismes de contrôle resucés sans cesse s'étiolaient, anticipant le basculement de l'opinion. Il maudit le peu de reconnaissance de ces "propulsés" par sa bienveillance....un bon mot encore dilué dans l'espace.
Remplacer Le père noël, par la mère noël....ou mieux noël par la trêve des confiseurs...toutes ces idées novatrices se recentraient au sein des minorités, et fuyaient les incertitudes du peuple ingrat et versatile....
"Tout ça pour ça" se disait il; pour la première fois de sa vie, il ressentit un sentiment d'inconfort, d'insécurité.....
La guerre en Europe lui semblait un tremplin pour rebondir dans les sondages, mais le poids du Mickey arrogant était un obstacle. Un procès envers sa cour était il une faiblesse ou une erreur ? un sursaut ou une folie ?
"Emmanuel le petit déjeuner est prêt"...il s'assit sur le bord du lit, dans la nostalgie tenace de son doux rêve....
Enfui le jeune homme à la peau brune , aux dents lumineuses, à la bouche gourmande et intrusive....
Chienne de vie, chienne de faire valoir de chirurgie faciale.....de robe hypocrite, de sexe vieillot et rabougri..
Et pourtant, aurais je autant réussi sans "iel" ? probablement pas ...mais le temps du bilan de son poste
qui s'achevait, était venu....
il imaginait pouvoir escalader la dernière marche possible; la conquête des états unis ...
Ce serait plus simple avec un veuvage providentiel, qu'il ne souhaitait pas certes, mais les temps changeaient lentement...
La pensée humaine est discontinue, oublieuse, revancharde, contradictoire, opportuniste surtout....
Il était un symbole , une ivresse du tout possible, de l'enfant sans sexe pré établi....il était aujourd'hui le symbole du reflux,
des prémisses d'une marée plus conservatrice....
La bougie de son règne allait être soufflée trop tôt à son goût...la découverte que la fuite rapide vers de multiples découvertes ne ralentissait pas les aiguilles impitoyables du temps....
Il vieillissait...ils vieillissaient . Les organismes de contrôle resucés sans cesse s'étiolaient, anticipant le basculement de l'opinion. Il maudit le peu de reconnaissance de ces "propulsés" par sa bienveillance....un bon mot encore dilué dans l'espace.
Remplacer Le père noël, par la mère noël....ou mieux noël par la trêve des confiseurs...toutes ces idées novatrices se recentraient au sein des minorités, et fuyaient les incertitudes du peuple ingrat et versatile....
"Tout ça pour ça" se disait il; pour la première fois de sa vie, il ressentit un sentiment d'inconfort, d'insécurité.....
La guerre en Europe lui semblait un tremplin pour rebondir dans les sondages, mais le poids du Mickey arrogant était un obstacle. Un procès envers sa cour était il une faiblesse ou une erreur ? un sursaut ou une folie ?
"Emmanuel le petit déjeuner est prêt"...il s'assit sur le bord du lit, dans la nostalgie tenace de son doux rêve....
On a parfois l’impression que le monde est fait de choses qu’on subit, les tremblements de terre, les inondations, les guerres, la télé réalité, et plus récemment le Corona virus, mais il est important de se souvenir qu’il y à des choses qu’on maitrise, comme le pardon, une deuxième chance, un nouveau départ, parce que la seule chose qui transforme le désert de solitude qu’est le monde en un endroit merveilleux, c’est l’Amour, l’Amour sous toutes ses formes, l’Amour nous donne l’espoir de sortir de cette crise, de sortir grandi, gardez l’espoir 

Je me croyais malin car j’étais un valide
Valide avec un U pourtant je n’étais rien
Car lorsque je l’ai vu, elle était invalide
Valide avec un I, elle était tout, moi rien.
Je me sentais petit en la regardant faire
Pour une tache à faire, j’étais un vrai looser
Elle n’hésitait jamais car elle savait tout faire
Sur terre comme sur mer elle n’était que leader.
Près d’elle j’ai appris, la vie est un combat
Qu’il convient de gagner avant de l’engager
Avec elle on avance sans faire trop de débats
Ou alors c’est après que l’on peut deviser.
Quand l’enjeu est atteint, le défi relevé,
Elle vous dit : c’est gagné, allons nous reposer.
J’ai une pensée plus qu’affectueuse pour mon amie Joëlle notre Yaourt que vous connaissez tous elle est train de se battre contre une ennemie pas facile à lire la météo, afin de pouvoir réaliser son troisième défi un peu comme la quadrature du cercle je sais qu’elle va y arriver on pourra bientôt lire dans la presse elle a réussi son défi « le Sterenn Armor » , parce qu’avec elle, il ne peut pas y avoir d’échec.
Bon vent mon joli Yaourt , j’ai écris quelques mots, quelques vers pour te rendre hommage.
Si ta souffrance un jour, un jour de désespoir
Peut te faire oublier ton sacré amour-propre
Si l’horizon de ton futur se teint de noir
Si tu découvres la médisance et l’opprobre
Si, comme j’ai pleuré, tu pleures dans la nuit
Si tu te sens perdue, si tu te sens trop lasse
Si tu connais pire que la douleur, l’ennui
L’ennui qui s’insinue et lentement vous glace
Si ton amour, si ton nouvel amour
Comme tu m’as quitté à ton tour t’abandonne
Si tu connais ainsi les excessifs tourments
De ceux que l’on délaisse et qui pourtant pardonnent
Si tu es trop seule, si tu te sens moins forte,
Viens chez moi, je t’en prie, refais donc le chemin,
Vois-tu, je t’attendrai devant ma porte
Et quand tu seras là, on ne se dira rien,
On ne pleurera pas, je te prendrai la main
Et nous regarderons dans les brumes d’automne
Se lever le soleil, doux, comme un œillet jaune.
Pourquoi en France on dis aller aux toilettes alors qu'en Belgique on dis aller a la toilette ?
Parce qu'en France il faut en faire plusieurs pour en trouver une propre.
Parce qu'en France il faut en faire plusieurs pour en trouver une propre.
