tout a commencé en visionnant un reportage tv....
la journaliste cherchait à dénicher le propriétaire d'une très grande exploitation agricole.
Déjà, beaucoup de discrétion lors de la transaction. Comme de plus en plus il faut des intermédiaires...
Mais la télé peut se montrer accrocheuse, quand elle cherche la petite bête...
Finalement elle a trouvé le nouveau proprio.
Très calme, bien préparé, il a comparé son domaine à un super marché face à des petites épiceries...
Il a ajouté que comparé au monde, sa surface restait modeste...
Alors, en y réfléchissant bien, quel est le calcul, les intentions du gentleman farmer ?
Et si comme au bon vieux temps pré révolutionnaire; il souhaitait simplement gérer son domaine, quitte à employer une main d'oeuvre
bon marché (étrangère) qui le libérerait des tâches fatigantes et peu valorisantes...
Les exemples existent déjà dans ce bas monde, et la manne européenne distribuée au prorata de la surface cultivée doit en
faire rêver plus d'un....
Déjà la taille des vignes est réalisée par de petites mains, alors ?
Avec un tracteur guidé infailliblement par GPS, pas besoin d'une formation hi tech, un brave employé, lui dicter les tâches, gérer en bon père de famille,
et là ce ne serait pas le bonheur ?
la journaliste cherchait à dénicher le propriétaire d'une très grande exploitation agricole.
Déjà, beaucoup de discrétion lors de la transaction. Comme de plus en plus il faut des intermédiaires...
Mais la télé peut se montrer accrocheuse, quand elle cherche la petite bête...
Finalement elle a trouvé le nouveau proprio.
Très calme, bien préparé, il a comparé son domaine à un super marché face à des petites épiceries...
Il a ajouté que comparé au monde, sa surface restait modeste...
Alors, en y réfléchissant bien, quel est le calcul, les intentions du gentleman farmer ?
Et si comme au bon vieux temps pré révolutionnaire; il souhaitait simplement gérer son domaine, quitte à employer une main d'oeuvre
bon marché (étrangère) qui le libérerait des tâches fatigantes et peu valorisantes...
Les exemples existent déjà dans ce bas monde, et la manne européenne distribuée au prorata de la surface cultivée doit en
faire rêver plus d'un....
Déjà la taille des vignes est réalisée par de petites mains, alors ?
Avec un tracteur guidé infailliblement par GPS, pas besoin d'une formation hi tech, un brave employé, lui dicter les tâches, gérer en bon père de famille,
et là ce ne serait pas le bonheur ?
Le soir je marche dans l’ombre
D’un souvenir qui s’enfuit
C’est un beau rêve qui s’ombre
Vers les abimes de l’oubli
J’entends ta voix qui m’enchante
Pourquoi ton sourire me hante
Comme une reine sans roi
Ma vie n’est plus rien sans toi
D’un souvenir qui s’enfuit
C’est un beau rêve qui s’ombre
Vers les abimes de l’oubli
J’entends ta voix qui m’enchante
Pourquoi ton sourire me hante
Comme une reine sans roi
Ma vie n’est plus rien sans toi
On a parfois l’impression que le monde est fait de choses qu’on subit, les tremblements de terre, les inondations, les guerres, la télé réalité, et plus récemment le Corona virus, mais il est important de se souvenir qu’il y à des choses qu’on maitrise, comme le pardon, une deuxième chance, un nouveau départ, parce que la seule chose qui transforme le désert de solitude qu’est le monde en un endroit merveilleux, c’est l’Amour, l’Amour sous toutes ses formes, l’Amour nous donne l’espoir de sortir de cette crise, de sortir grandi, gardez l’espoir 

A partir de lundi, je vis de carottes et de bouillon
A partir de lundi, je dis adieu au mille-feuilles
Je vire au languide, à l'éthérée
Et les gens me demanderont si c'est bien moi cette femme
Je compte toute calorie, du yaourth
A la pastille de menthe, de la branche de céleri, à la rondelle de poivron
A partir de lundi
A partir de lundi, je joggerais tous les matins
Après mes flexions, mes pompes et mes abdos
Mes récompenses que je comptais en lasagnes
Je les trouverais le jour où je m'habillerais en 38
Je me détournerais des plaisirs infantiles, comme les carambars
Pour savourer le chant des oiseaux et le parfum d'une rose
A partir de lundi
A partir de lundi, je tiendrais tête aux confiseries
et tout, hors un oeuf dur, me paraîtra indigeste
Je verrais disparaître le gras de mes cuisses... et le flasque de mes bras
Mes joues se creuseront, mes côtes pointeront
Et l'os de mon pubis émergera pour la première fois
En hommage à ma totale abstinence
A partir de lundi
Mais mardi, une amie est venue prendre le thé, en apportant un cake maison
Et mercredi, j'ai du stopper le jogging... à cause de mon dos
Jeudi j'ai lu dans un journal que le jaune d'oeuf m'encrassait les artères, et me menait à l'infarctus
Vendredi on dînait chez les Toumoux... elle met de la crème partout... et fait la tête si on n'en reprend pas
Samedi soir, on amenait les enfants à la fête, j'ai demandé un Vittel mais il n'y avait que du coca
Dimanche mon estomac rampait sur ma ceinture
Et pleine haine pour moi-même... j'ai pleuré à pleines chips
Mais je refuserais de croquer ne serait ce qu'une seule frite...
A partir de lundi
A partir de lundi, je dis adieu au mille-feuilles
Je vire au languide, à l'éthérée
Et les gens me demanderont si c'est bien moi cette femme
Je compte toute calorie, du yaourth
A la pastille de menthe, de la branche de céleri, à la rondelle de poivron
A partir de lundi
A partir de lundi, je joggerais tous les matins
Après mes flexions, mes pompes et mes abdos
Mes récompenses que je comptais en lasagnes
Je les trouverais le jour où je m'habillerais en 38
Je me détournerais des plaisirs infantiles, comme les carambars
Pour savourer le chant des oiseaux et le parfum d'une rose
A partir de lundi
A partir de lundi, je tiendrais tête aux confiseries
et tout, hors un oeuf dur, me paraîtra indigeste
Je verrais disparaître le gras de mes cuisses... et le flasque de mes bras
Mes joues se creuseront, mes côtes pointeront
Et l'os de mon pubis émergera pour la première fois
En hommage à ma totale abstinence
A partir de lundi
Mais mardi, une amie est venue prendre le thé, en apportant un cake maison
Et mercredi, j'ai du stopper le jogging... à cause de mon dos
Jeudi j'ai lu dans un journal que le jaune d'oeuf m'encrassait les artères, et me menait à l'infarctus
Vendredi on dînait chez les Toumoux... elle met de la crème partout... et fait la tête si on n'en reprend pas
Samedi soir, on amenait les enfants à la fête, j'ai demandé un Vittel mais il n'y avait que du coca
Dimanche mon estomac rampait sur ma ceinture
Et pleine haine pour moi-même... j'ai pleuré à pleines chips
Mais je refuserais de croquer ne serait ce qu'une seule frite...
A partir de lundi
Je me croyais malin car j’étais un valide
Valide avec un U pourtant je n’étais rien
Car lorsque je l’ai vu, elle était invalide
Valide avec un I, elle était tout, moi rien.
Je me sentais petit en la regardant faire
Pour une tache à faire, j’étais un vrai looser
Elle n’hésitait jamais car elle savait tout faire
Sur terre comme sur mer elle n’était que leader.
Près d’elle j’ai appris, la vie est un combat
Qu’il convient de gagner avant de l’engager
Avec elle on avance sans faire trop de débats
Ou alors c’est après que l’on peut deviser.
Quand l’enjeu est atteint, le défi relevé,
Elle vous dit : c’est gagné, allons nous reposer.
J’ai une pensée plus qu’affectueuse pour mon amie Joëlle notre Yaourt que vous connaissez tous elle est train de se battre contre une ennemie pas facile à lire la météo, afin de pouvoir réaliser son troisième défi un peu comme la quadrature du cercle je sais qu’elle va y arriver on pourra bientôt lire dans la presse elle a réussi son défi « le Sterenn Armor » , parce qu’avec elle, il ne peut pas y avoir d’échec.
Bon vent mon joli Yaourt , j’ai écris quelques mots, quelques vers pour te rendre hommage.
