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24/06
Les extraordinaires exploits de Sanslip Bandalez contre les droits de douane de Trump
Vous connaissez peut-être Hernán Cortés, Zapata ou même Speedy Gonzales, mais je vais vous parler de Sanslip Bandalez, le seul guerrier mexicain à avoir déjoué les lois du commerce international à coups d’éperons dorés et de tortillas magiques. Son nom seul suffisait à faire trembler les douaniers et à faire pleurer les cactus de fierté.

Chapitre I : Le Mur et la Mandoline Explosive
Tout commença par une nuit étoilée où les tamales vibraient d’angoisse. Un décret surgit des déserts glacés de Washington : les droits de douane sur les produits mexicains allaient être triplés ! Le peuple trembla, les avocats se mirent à suer du guacamole.

Mais au cœur des montagnes de Oaxaca, Sanslip Bandalez, vêtu de son poncho pare-balles et armé de sa fidèle mandoline explosive – une guitare qui jouait la Cucaracha tout en lançant des grenades de jalapeño –, déclara :

« ¡No pasarán los impuestos injustos! »

Il enfourcha El Tornado, son cheval en sombrero (car oui, son cheval portait un sombrero plus large que le Capitole), et partit vers le nord à une vitesse telle que l’asphalte fondait sous ses sabots.

Chapitre II : Duel à la frontière et enchiladas tactiques
À la frontière, Bandalez affronta le redoutable Shérif Tariff, un robot douanier à tête d’aigle coiffé d’un chapeau MAGA. Le monstre exigea une déclaration de valeur ajoutée. Mais Bandalez, riant comme un coq au lever du soleil, lança une enchilada farcie au fromage de chèvre révolutionnaire.

L’impact fit fondre les barrières commerciales. L’air devint plus libre, des mariachis invisibles entonnèrent l’hymne des exportateurs, et le shérif robot, pris de panique, implosa en vomissant des codes douaniers.

Bandalez murmura :

« Encore une taxe neutralisée par la gastronomie. »

Chapitre III : L’invasion de la Maison Blanche et la négociation du siècle
Arrivé à Washington, notre héros grimpa à main nue le mur sud de la Maison Blanche (qu’il avait enroulé tel un burrito), et entra par la cheminée, vêtu d’un poncho en aluminium pour brouiller les satellites.

Il trouva Trump en pleine sieste entre deux tweets.

Sanslip le réveilla(attention a la confusion ) en plantant une piñata géante dans le bureau ovale, qui explosa en libérant un traité de libre-échange signé par les esprits d’Abraham Lincoln et d’un ancien taureau de corrida.

Trump, confus mais impressionné par tant d’audace et de maïs, signa un nouveau décret :

« From now on, tacos are tariff-free. And I want one now. »

Épilogue : La légende éternelle
Depuis ce jour, on dit que chaque fois qu’un avocat d’affaires hausse les épaules, une moustache frissonne au Mexique, car Sanslip Bandalez veille, prêt à surg… euh, galoper hors des limbes douaniers pour défendre l’âme libre du commerce, armé de son charme, de ses bottes enchantées et d’un burrito légalement inattaquable.



24/06
Après san antonio, voici venir le maitre du fantastique....
24/06

faut bien délirer un brin , histoire de se secouer les neurones et avoir des histoires a raconter aux jeunes fille du couvent des oiseaux
il y a fort a parier que ce récit va les captiver
25/06
ah les jeunes filles si jolies, si amusantes, si tentantes....mais d'où sortent donc toutes ces belles mères imbuvables et alourdies ?
c'est sans doute pourquoi quelques vieux hommes mal compris, mal aimés, mal considérés par ces dernières, se laissent aller à des regards libidineux au moins grave , à des gestes déplacés sur ces prototypes merveilleux au plus grave...
mais il existe heureusement des Brigitte qui savent s'occuper de la formation érotique des gamins....
25/06



26/06
certes néanmoins la prudence est de mise
plus la séduction est grande plus le risque est grand.. et il arrive un Age ou il n'y a plus de risques
quand on plait on sait pourquoi faut etre riche épicétou
26/06
bien sûr...un petit voilier, un camping car, la piscine, la résidence à courchevel, une autre dans le finistère pour parer à toute canicule....et bien sûr le petit coupé décapotable qui fait toujours son petit effet.
Mais on se lasse de tout, et les donzelles n'échappent pas au désenchantement . "tu n'as pas de résidence en suisse ? c'est dommage, j'aurais adoré....
"tu m'avais promis un week-end amoureux à st Petersbourg, tu l'avais oublié ?
"Et la soirée de folie joueuse à Végas ? quel pingre tu fais....
"tu me surveilles ? j'ai le droit de fréquenter des jeunes....
Mais pour une déshéritée du tiers monde, un toit et une retraite moyenne c'est la richesse....
Enfin, au début, le désir n'a pas de limites....
26/06
bon a partir d'un certain Age , la jeunesse c'est fatiguant et chiant pour tout dire.. le voilier , la piscine tout çà c'est pour les cadres et autres bonobos avides d'avoir "l'air de frauder le fisc nan ?
non pas de pétroleuses a entretenir pour çà il te faut une gouvernante , germanique si possible , çà c'est du solide , éducation protestante stricte , gout du travail bien fait ..
et çà classe son homme
toc toc toc
-oui monsieur?
"dites c'est effrayant votre jardin , je venais vous voir pour une donation pour l'association des peintres avec les pieds"
ah! un instant c'est ma gouvernante qui s'occupe de çà
"Berta, da ist ein Mann, der Geld will.

WAS? Schon wieder ein Gangster.?
elle arrive , non ne partez pas en courant ! je manque le meilleur
bon , moi çà m'amuse

26/06
c'est ma hantise ; une maison de retraite sans une gerda, une natache, une aziliz ....
Gare aux mauvais traitements...
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