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🗞️ "Juillet Noir : chronique d’un basculement politique"
Paris, 7 juillet 2025.
Le président Emmanuel Macron, confronté à un gouvernement minoritaire et à une fronde parlementaire bloquant son projet de réforme budgétaire, annonce solennellement, depuis l’Élysée, la dissolution de l’Assemblée nationale. Il espère une "clarification démocratique" et parie sur une abstention élevée et une division des oppositions.
Réaction immédiate :
Les partis se mettent en ordre de bataille. Mais le temps est court : les élections sont fixées au 27 juillet, en plein été. La campagne est éclair et brutale.

📊 Résultats du 27 juillet 2025 : un séisme politique
Rassemblement National : 255 sièges
Nouveau Front Populaire (LFI, PS, EELV, PCF) : 180 sièges
Ensemble (Renaissance + Modem + Horizons) : 65 sièges
Les Républicains (divisés) : 20 sièges
Divers : 7 sièges
Personne n’a la majorité absolue (289), mais le RN est ultra-dominant.

Cohabitation inédite : Bardella nommé Premier ministre
Le 1er août 2025, Jordan Bardella est nommé Premier ministre. Macron, affaibli, cède face à l’évidence parlementaire. C’est la première cohabitation entre un président centriste et un Premier ministre d’extrême droite dans l’histoire de la Ve République.
Le gouvernement Bardella comprend des figures RN (Bay, Chenu, Maréchal) et quelques ralliés venus de la droite classique. Dès les premières semaines :
Priorité à la sécurité et à l'immigration : loi sur la préférence nationale, rétablissement du délit de séjour irrégulier.
Gel de certaines aides sociales aux étrangers.
Requête à l’Union européenne pour renégocier certaines directives migratoires.
Moratoire sur les éoliennes et relance du nucléaire.

🔥 France fracturée : automne 2025 sous tension
Dès septembre, les lycées, les universités et les syndicats appellent à manifester. Une coordination spontanée, "Les Jours de la République", lance des marches chaque samedi. Des violences éclatent à Nantes, Toulouse et Lyon.
Les forces de l’ordre reçoivent des consignes fermes.
Le ministre de l’Intérieur multiplie les dissolutions d’associations, dont certaines collectifs antiracistes ou écologistes.
Les premières tensions apparaissent entre Macron et Bardella sur la politique étrangère : le président refuse de remettre en cause le soutien à l’Ukraine ou de changer la politique européenne. Le Premier ministre tente d'imposer un ton plus souverainiste.

⚖️ Crise institutionnelle latente – l’appel à une VIe République
En novembre 2025, Jean-Luc Mélenchon, relancé par les manifestations, appelle à une Assemblée constituante. L'idée d'une VIe République revient sur le devant de la scène. Des juristes, des intellectuels et des maires s’en mêlent.
Le Conseil constitutionnel est saisi plusieurs fois par l'opposition sur des lois jugées discriminatoires.

🧨 Février 2026 : incident à l’Assemblée – et rupture
Le 13 février 2026, un député de la NUPES est expulsé de l’hémicycle après avoir accusé le ministre de l’Éducation de "discrimination d'État". L'incident déclenche un boycott parlementaire d’une partie de la gauche.
La majorité relative du RN devient difficile à gérer. Le gouvernement passe en force par ordonnances, accentuant les critiques.

⌛ 2026-2027 : vers un affrontement présidentiel final
Macron, empêché de dissoudre à nouveau avant juillet 2026 (selon la Constitution), temporise. Mais les blocages s’accumulent.
Trois France s'affrontent :
La France RN, gouvernante, sécuritaire, eurosceptique.
La France de la gauche unie, mobilisée dans la rue.
La France libérale et centriste, marginalisée, déboussolée.

À l’approche de l’élection présidentielle de 2027, les jeux sont ouverts :
Bardella se positionne comme successeur naturel.

Une nouvelle figure de gauche émerge : une femme, jeune, écolo-socialiste, rassembleuse.
L’hypothèse d’un candidat d’union libérale reste incertaine.

🧭 Conclusion : vers la fin de la Ve République ?
La dissolution de juillet 2025 aura déclenché bien plus qu’une crise parlementaire. Elle aura exposé les failles profondes du système institutionnel français, son incapacité à encadrer une polarisation extrême, et sa vulnérabilité face à une perte de repères démocratiques.

hein çà a de la gueule non?
j'en prepare une autre ?

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