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Garder en mémoire

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05/01/2012

Je suis un "fonctionnarisé" (Brel).

Je n'en ressens aucune honte.

De plus, enseignant.

Et je suis prêt à expliquer à qui le souhaite pourquoi je suis nécessaire à toute société et n'ai pas à me culpabiliser en ces temps de crise.

Non : je ne suis pas un fardeau économique.

25/01/2012
Bah, autant que ces vitupérations sans objet viennent de Domi, plutôt que d'une personne agréable et sensée.

On serait obligés d'y prêter attention, sinon.

bogla.
25/01/2012
Ça gratte hein?

Allez, pouponne bien. Chacun doit porter sa croix
25/01/2012
Citation:
Evité l'importation d'environ 500 appareils par an durant 23ans. et VOUS?


et moi

ben moi j'ai tout simplement permis à de nombreux eleves de pouvoir un jour construire leur entreprise

j'ai commencé à travailler en 1950...et j'ai arrêté en 1983, trop ebranlée par un drame familial

Fiston a beaucoup de copains qui sont d'anciens élèves

Parait que j'etais sévère(,un reste de l'ancien temps)mais non,j 'estimais que j'avais préparé une leçon et il n'etait pas question de me la saboter

et maintenant je m'amuse,

25/01/2012
Bon c'est bien Alixe, je n'ai rien à vous reprocher en particulier.

Evitez de personnaliser les choses.

Ici ne sont que des généralités, il reste que 10% de chômage, la détresse dans bien des foyers, un échec (relatif mais important de l'EN)et des dettes comme nous n'en avons jamais eu autant!

Donc à mon niveau, je dénonce ces FAITS et contrairement à bien d'autres, je PROPOSE des solutions. Pas la peine de hurler pour autant ni de se moquer des solutions proposées comem si lke monde devait rester figé! Vous n'en lirez pas souvent si ce n'est que piquer encore plus de pognon pour des promesses JAMAIS tenues.

Ceci à gauche comme à droite d'ailleurs.

Si tant est qu'un jour, la droite a fait une politique de droite!
25/01/2012
Citation:
je PROPOSE des solutions.
D'autant que c'est ici le lieu idéal pour qu'elles soient mises en application.
25/01/2012
Si on peut plus jouer alors!

De plus Theo a part foutre le camps, t'as quoi comme solution que je me marre
25/01/2012
Citation:
De plus Theo a part foutre le camps, t'as quoi comme solution que je me marre
"Foutre le camp" n'est sans doute pas la panacée, mais c'est probablement la meilleure solution quand on sait que le navire va couler. C'est donc celle que je vous propose.
25/01/2012
Plus sérieusement, des solutions j'en ai ... mais personne veut m'écouter ( pas même sarko ) alors je me dis tant pis pour eux et je m'écrie avec Néron: "Quel génie le monde perd en moi" C'est comme ça.
25/01/2012
J'me disais aussi...
25/01/2012
Je partage la majorité de tes points de vue ... Nous serions pris au sérieux si nous raisonnions de la sorte dans un monde idéal, un monde où l'humanité aurait à coeur l'intérêt général plutôt que ses petits intérêts particuliers, un monde qui ne serait pas prisonnier de ses clichés, de ses idéologies et de ses instincts. Bref, un monde intelligent et sage. HELAS !!!
Je vois bien que nous g.ueulons dans un désert. J'irai donc g.ueuler sous les cocotiers. Au moins il y fera plus chaud et on ne viendra plus m'arnaquer.
25/01/2012
Je partage la majorité de tes points de vue ...

ENCORE!!!

Nous serions pris au sérieux si nous raisonnions de la sorte dans un monde idéal, un monde où l'humanité aurait à coeur l'intérêt général plutôt que ses petits intérêts particuliers, un monde qui ne serait pas prisonnier de ses clichés, de ses idéologies et de ses instincts. Bref, un monde intelligent et sage.

Arrête de rêver d'absolu Theo, tu te fait du mal.
l'homme est un animal moyen, seuls quelques individus sortent du lot et ils sont rarement aimés de leur vivant. C'est comme ça c'est la vie....et c'est la nature qui rigole.

Regarde moi ici, personne ne m'aime Que veux tu, faut ben porter sa croix regarde comment a fini ce pov Jesus

Cloué sur une croix l'animal tribun décalé, tout cela pour trois camelots du temple dérangés et 10 bonnes prêche disant "aimez vous donc les uns les autres." SACRILEGE les vendeurs de glaives ne pouvaient entendre cela.

Si t'étais sur Bordeaux, je te changerais les idées avec Monique et Andrea ces deux coquines tiennent un boxon pas loin du port ecoute.... mais bon...
25/01/2012
De ce caractère négatif du bien-être et de la jouissance opposé au caractère positif de la douleur, il résulte que le bonheur d'une existence donnée ne doit pas être estimé d'après ses joies et ses jouissances, mais d'après l'absence de peines, seule chose positive. Dès lors le sort des autres animaux paraît plus supportable que celui de l'homme. Examinons de plus près l'un et l'autre. Sous quelques formes variées que l'homme poursuive le bonheur ou cherche à éviter le malheur, tout se réduit, en somme, à la jouissance ou à la souffrance physique. Combien cette base matérielle est étroite : se bien porter, se nourrir, se protéger contre le froid et les intempéries, et enfin satisfaire l'instinct des sexes ; ou bien, au contraire, être privé de tout. Par conséquent, la part réelle de l'homme dans le plaisir physique n'est pas plus grande que celle de l'animal, si ce n'est que son système nerveux, plus susceptible et plus délicat, agrandit l'impression de toute jouissance comme aussi de toute douleur. Mais combien ses émotions surpassent celles de l'animal ! A quelle profondeur et avec quelle violence incomparable son cœur est agité ! pour n'obtenir à la fin que le même résultat : santé, nourriture, abri, etc. Cela vient en premier lieu de ce que chez lui tout s'accroît puissamment par la seule pensée du passé et de l'avenir, d'où naissent des sentiments nouveaux, soucis, crainte, espérance; ces sentiments agissent beaucoup plus violemment sur lui que ne le peuvent faire la jouissance et la souffrance de l'animal, immédiates et présentes. L'animal, en effet, n'a pas la réflexion, ce condensateur des joies et des peines ; celles-ci ne peuvent donc s'amonceler, comme il arrive pour l'homme, au moyen du souvenir et de la prévision : chez l'animal la souffrance présente a beau recommencer indéfiniment, elle reste toujours comme la première fois une souffrance du moment présent, et ne peut pas s'accumuler. De là l'insouciance enviable et l'âme placide des bêtes. Chez l'homme, au contraire, la réflexion et les facultés qui s'y rattachent, ajoutent à ces mêmes éléments de jouissance et de douleur que l'homme a de communs avec la bête, un sentiment exalté de son bonheur ou de son malheur qui peut conduire à des transports soudains, souvent même à la mort ou bien encore à un suicide désespéré. Considérées de plus près, les choses se passent comme il suit : ses besoins qui, à l'origine, ne sont guère plus difficiles à satisfaire que ceux de l'animal, il les accroît de parti pris dans le but d'augmenter la jouissance : d'où le luxe, les friandises, le tabac, l'opium, les boissons spiritueuses, le faste et le reste. Seul aussi il a une autre source de jouissance, qui naît également de la réflexion, une source de jouissance et

la suite

http://christophe.faveaux.free.fr/condition.html
25/01/2012
a chacun sa philosophie
26/01/2012
Alixe...d'uen part c'est vouloir enfoncer des poetres ouvertes...d'autre part ecrire cela des animaux est une erreur c'est se prendre pour ce qu'on est pas , se saouler de certitudes, ce sont des fondations construites sur du sable...

en attendant ecoutez cela puis lisez cela

Sa chanson est désolante d'humanité

S’il y a des cloches pour les chiens qui meurent,
Que sonnent les cloches pendant une heure,
Il est mort de m’attendre au coin d’une rue.
C’est tant pis pour moi, je n’ suis pas venu.

Pourtant j’avais dit au printemps :
" Avec les fleurs, les vents d’avril,
Les hirondelles ont fait des milles
Lui dire que j’étais au tournant. "

Il m’a attendu tout l’été, tout l’été
Pour qu’ensemble, on aille courir dans les champs.
Je lancerai dans la coulée,
Le bâton qu’il tient entre ses dents.

Quand l’automne est venu, il a vu
Que peut-être, je ne reviendrais plus.
Il s’est r’culé au fond d’ la cour,
A pleuré la chute des jours.

Un voisin lui a dit : " T’en fais pas.
Espère un peu, encore un mois. "
Un ami lui a dit : " Viens chez moi.
J’ai des enfants, on te guérira. "

Mais non, il a attendu la neige
Et elle l’a pris comme un sortilège.
Il a dit : " Elle le ramènera. "
Mais j’ai failli, encore une fois

Et puis, écœuré de l’amour,
Des charités, des beaux discours,
Il s’est roulé au coin d’ la rue,
Attendit qu’on lui passe dessus.

S’il y a des cloches pour les chiens qui meurent,
Que sonnent les cloches pendant une heure.
Il est mort de m’attendre et je l’ai déçu.
Je mériterais qu’on ne m’aimât plus.

Pourtant...
26/01/2012
Oui, quand le spleen vous envahit il peut arriver que l'on couche sur papier des idées noires ... mais cela ne veut pas dire que de tels sentiments défaitistes soient constants et qu'ils reflètent votre nature profonde. Ils ne reflètent que les sentiments d'un instant. Il arrive même aux "écorchés vifs" de se montrer frivoles. L'homme n'est jamais tout d'un bloc. Il est fait de demi teintes et de contradictions. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il a tant de mal à définir le bonheur.

Les gens sensibles sont intérieurement très riches. je pense que c'était le cas de Brel... et, bien sûr, d'un Dick Rivers aussi... mais dans une moindre mesure.
26/01/2012

Il court il court ce fil...
Je ne le rattraperai jamais.

Après tout, tant mieux.





Cependant, j'aurais bien aimé discuter des fonctions publiques cachées, car non régaliennes et qui sont pourtant les plus coûteuses.

J'en vois deux, sujettes à concours aussi, mais des concours un peu bizarres :

- la fonction publique territoriale,

- la fonction publique élective.

La seconde concours par élection et alimente la première qui veille à maintenir la seconde pour ne pas assécher la mamelle.

C'est obscur ?

Certainement si on reste sur l'idée du fonctionnaire réduite aux... fonctionnaires.

Lorsqu'on élargit l'idée de fonctionnaire à "toute personne payée par l'État", il y a du monde à l'écuelle, et même des libéraux, genre Dassault : sécurité de l'emploi, retraite dorée, etc. (Et non, ne me prenez pas pour un con : j'habite près de Toulouse).


Mais restons dans le domaine dit 'public".

Il y a environ 600 000 élus en France.

Du député au plus obscur conseiller général de Trifouillis-les-Oies.

Indemnités, frais de représentation, de déplacement et d'amusement...

Régime spécial de retraite, évidemment (ils sont si fragiles, les pauvres).

Nous savons tous que beaucoup de ces gens-là sont installés pour toujours et font métier grassement payé pour nous représenter.


Je suis instituteur.

Je pense qu'ils coûtent plus que moi à l' Etat.

p_carlow, comptable du tableau noir.
27/01/2012
Citation:
Je suis instituteur.
Je pense qu'ils coûtent plus que moi à l' Etat.

probablement, mais il n'y a pas de petites économies.
27/01/2012

Citation:
probablement, mais il n'y a pas de petites économies.


Le problème, c'est que ce sont EUX qui décident des économies que NOUS devons faire.

p_carlow, contaminé par domi, sous antibiotiques.
29/01/2012
je réponds à DOMI

Je ne sais pas ce que valent les chiens des autres mais le mien est exceptionnel
Il est tres intelligent
Il est tres affectueux
il est tres propre
etc etc
La il attend que j'aille me coucher pour venir se blottir contre moi

le kiki sur ma droite et la minoune sur ma gauche je ne dors plus jamais seule

Je soulève son menton ,je le regarde dans les yeux et je lui demande "te souviendras tu de moi "

PARCEQUE ,bien qu'ayant pris mes precautions,le plus grave ce n'est pas de partir mais d'abandonner les êtres qu'on aime

Alixe ,remplie de contraditions
01/02/2012

J'ai l'impression de bégayer quand je cause de "fonction publique élective".

Sur un autre fil, un député "apparenté PS" s'acharne à démontrer l'évidence, calmement.

L'Aisne est bien représentée.

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