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N°Annonce

Mot de passe

Garder en mémoire


tout a commencé en visionnant un reportage tv....
la journaliste cherchait à dénicher le propriétaire d'une très grande exploitation agricole.
Déjà, beaucoup de discrétion lors de la transaction. Comme de plus en plus il faut des intermédiaires...
Mais la télé peut se montrer accrocheuse, quand elle cherche la petite bête...

On a parfois l’impression que le monde est fait de choses qu’on subit, les tremblements de terre, les inondations, les guerres, la télé réalité, et plus récemment le Corona virus, mais il est important de se souvenir qu’il y à des choses qu’on maitrise, comme le pardon, une deuxième chance, un nouveau départ, parce que la seule chose qui transforme le désert de solitude qu’est le monde en un endroit merveilleux, c’est l’Amour, l’Amour sous toutes ses formes, l’Amour nous donne l’espoir de sortir de cette crise, de sortir grandi, gardez l’espoir

Chaque jour ma mémoire s'effile et s'étiole,
Fol symbole d'amnésie garnie de vitriol,
Mes souvenirs défilent et les images filent,
Mes neurones fébriles, de vieux fossiles séniles,
Mes pensée volatiles cherchent encore un asile,
Dans les recoins futiles de mon esprit fragile,
Mes souvenirs du présent partent déjà en poussière,
Et chaque jour qui passe, j'oublie celui d'hier,
Les image de visages commencent à s'effacer,
Souvenance lointaine des ombres du passé,
Je voudrais vous parler mais je ne vous connais plus,
Je ne vois devant moi qu'un décor disparu,
Plus rien ne me reviens, je meure de l'intérieur,
Je ne retiens plus rien, pas même mes frayeurs,

Tout s'estompe, tous s'efface, et pourtant, et pourtant,
Tu es toujours en moi, présent à chaque instant.

Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit.
Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis.
Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher.
Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts.
Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas.
Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes.
Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante.
Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente !
Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim.
Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements.
Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore.
Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore…
Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ".
Je m'allège parfois te mettant sur le dos.
Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce.
Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.




Je me croyais malin car j’étais un valide
Valide avec un U pourtant je n’étais rien
Car lorsque je l’ai vu, elle était invalide
Valide avec un I, elle était tout, moi rien.

Je me sentais petit en la regardant faire
Pour une tache à faire, j’étais un vrai looser
Elle n’hésitait jamais car elle savait tout faire
Sur terre comme sur mer elle n’était que leader.

Près d’elle j’ai appris, la vie est un combat
Qu’il convient de gagner avant de l’engager
Avec elle on avance sans faire trop de débats

Ou alors c’est après que l’on peut deviser.
Quand l’enjeu est atteint, le défi relevé,
Elle vous dit : c’est gagné, allons nous reposer.




J’ai une pensée plus qu’affectueuse pour mon amie Joëlle notre Yaourt que vous connaissez tous elle est train de se battre contre une ennemie pas facile à lire la météo, afin de pouvoir réaliser son troisième défi un peu comme la quadrature du cercle je sais qu’elle va y arriver on pourra bientôt lire dans la presse elle a réussi son défi « le Sterenn Armor » , parce qu’avec elle, il ne peut pas y avoir d’échec.
Bon vent mon joli Yaourt , j’ai écris quelques mots, quelques vers pour te rendre hommage.
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