Le site de la rencontre amoureuse sérieuse.
N°Annonce

Mot de passe

Garder en mémoire

<< Précédent | allez encore un petit scenario prévisionnel?| Suivant >>
05:50

📁 DOSSIER CONFIDENTIEL – MISE À JOUR DE CRISE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE – DIRECTION GÉNÉRALE DE LA PLANIFICATION ET DE LA CRISE (DGPC)
Objet : Situation nationale – Crise budgétaire 2025 – Point de situation à date
Date : 15 septembre 2025
Classification : ALERTE ROUGE – Priorité exécutive immédiate

SYNTHÈSE OPÉRATIONNELLE
État de la situation :
Deux mois après le déclenchement de la crise budgétaire du 15 juillet, le pays connaît une dégradation rapide de sa stabilité économique, sociale et politique. L’absence de réponse unifiée et la paralysie gouvernementale ont aggravé la situation. L’hypothèse d’un effondrement de confiance institutionnelle à l’échelle nationale n’est plus théorique.

1. ÉVOLUTION ÉCONOMIQUE
Note officielle de dégradation : Le 30 août, Moody’s abaisse la note de la dette française à A−, provoquant une deuxième vague de panique sur les marchés.


Taux d’emprunt à 10 ans : atteignent 5,3 %, seuil critique menaçant la soutenabilité budgétaire.


Épargne réglementée : fuite de 12 milliards d’euros en 6 semaines vers des produits étrangers ou cryptomonnaies, selon la Banque de France.


Croissance : contraction confirmée au T3 (-0,4 %), risque de récession technique au T4.


Inflation : Remontée à 4,1 % (alimentation, énergie, loyers), malgré les prévisions d’atterrissage.



2. CLIMAT SOCIAL
Grève générale du 5 septembre : mobilisation massive (2,4 millions de manifestants), avec blocage total des raffineries, ports et nœuds ferroviaires.


Violences urbaines : incidents graves à Marseille, Toulouse, Rennes, et en banlieue parisienne (93, 94, 95). 4 commissariats incendiés, 1487 interpellations.


Éducation : rentrée scolaire fortement perturbée – 23 % des établissements partiellement fermés, grève du personnel administratif et enseignant reconduite dans 9 académies.


Hôpitaux publics : situation critique – 72 établissements en "plan blanc", rupture de stocks de médicaments courants (antibiotiques, paracétamol IV).


Mouvements citoyens spontanés : émergence des "Assemblées du 99", collectifs citoyens autogérés dans plusieurs villes, contestant toute légitimité aux institutions actuelles.



3. CRISE POLITIQUE
Échec du budget rectificatif : rejet du texte par l’Assemblée le 4 septembre à 22h41.


Motion de censure adoptée le 6 septembre – gouvernement démissionnaire.


Vacance exécutive relative : le Président refuse la démission du Premier ministre, tout en n’ayant plus de majorité. Situation de blocage constitutionnel.


Proposition de coalition transitoire (LR - Renaissance - Horizon) refusée par les groupes de gauche et l’extrême droite.


Appel à dissolution de plus en plus pressant – tensions au sein même de l’armée selon des sources confidentielles (CEMA, note du 12/09).



4. POSITION INTERNATIONALE
Commission européenne : courrier officiel adressé au gouvernement français le 9 septembre, évoquant un manquement grave aux engagements du semestre européen.


Rumeurs de supervision budgétaire partielle par la BCE via le mécanisme TPI (Transmission Protection Instrument).


FMI : contact informel établi via Washington ; mission exploratoire en veille.


Réaction des marchés étrangers : revalorisation du risque France ; délocalisations express en Belgique, Pologne et Espagne annoncées par deux groupes du CAC 40 (confidentiel à ce stade).



5. SCÉNARIOS ACTUALISÉS (DGPC)
Scénario
Probabilité (15/09)
Impact
A. Dissolution de l’Assemblée d’ici le 30/09
70 %
Rejet de l’exécutif par la population, climat insurrectionnel possible.
B. Gouvernement d’union nationale
15 %
Forte instabilité, peu soutenu par l’opinion publique.
C. Tutelle budgétaire UE + intervention BCE
40 %
Impact psychologique élevé, mais rétablissement de la confiance partiel.
D. Enlisement avec gestion autoritaire de l’ordre public
50 %
Risque de basculement démocratique, surveillance de la situation par l’ONU et ONG.


6. RECOMMANDATIONS IMMÉDIATES (STRICTEMENT CONFIDENTIEL)
Mise en alerte de niveau 2 du plan ORSEC économique dans les régions Île-de-France, PACA et Hauts-de-France.


Préparer le déclenchement d’un plan de continuité de l’État en cas d’émeutes généralisées.


Solliciter un arbitrage direct de l’Élysée sur le recours au Mécanisme Européen de Stabilité (MES).


Examiner l’activation de l’article 16 de la Constitution en cas de blocage institutionnel prolongé.


Suspendre temporairement les privatisations en cours, éviter un effet domino sur les actifs publics.



Rédigé par : Cellule de crise interministérielle – DGPC
Validé par : Délégué interministériel à la sécurité économique et sociale
Transmis à : PR, PM, SGDSN, Ministères concernés, Gouverneurs de Région, Préfets

j'adore .. arffff


Répondre

Page 1

<< Précédent | allez encore un petit scenario prévisionnel?| Suivant >>