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Il était une fois, dans une République moderne mais fatiguée, un Président qui rêvait de rester seul maître à bord. Las des contestations, furieux de voir surgir des voix dissidentes, il imagina un stratagème : frapper ses adversaires d’un anathème digne des temps anciens. — Si les électeurs ont voté pour eux, c’est qu’ils se sont trompés, déclare-t-il. Et dans son bureau aux dorures épuisées, il prononça solennellement : — J’édicte une fatwa contre ce parti indocile ! Le RN! La République n’avait jamais connu pareille invention. Les juristes s’étranglèrent, les citoyens se bidonnèrent, les réseaux sociaux explosèrent. Mais le Président, imperturbable, convoqua la presse mondiale pour célébrer sa trouvaille. Hélas ! Au moment d’entrer triomphalement en scène, il se prit les pieds dans le tapis rouge de l’Élysée. Sa chute fut spectaculaire, digne d’un numéro de cirque. Le symbole était trop beau : partout on vit ce chef qui voulait excommunier ses opposants, gisant au sol, prisonnier d’un tapis rebelle. Son autorité, plus encore que ses genoux, ne s’en releva pas. Quelques mois plus tard, sans majorité, sans alliés, sans grâce ni panache, le Président fut prié de se « reconvertir ». Ainsi le conduisit-on, ironie suprême, à France Travail, temple des fiches de poste improbables et des conseillers au sourire las. Dans la salle d’attente, il trouva un Premier ministre d’opposition, tribun tonitruant, à la verve mélanchonesque. Celui-ci l’accueillit d’une voix tonnante : — Tiens donc ! Voilà l’homme des fatwas républicaines. Qu’êtes-vous venu chercher ici ? — Un emploi à la hauteur de mon destin, bredouilla le Président déchu. — Ici, Monsieur, on propose des CDD de trois mois, des stages d’insertion et quelques formations PowerPoint. Mais si vous insistez, je peux vous inscrire à l’atelier “comment ne pas trébucher sur son tapis”. Toute l’assemblée éclata de rire. Le Président, penaud, comprit enfin que dans une République de citoyens moqueurs, nul décret, nulle fatwa, nulle posture martiale ne résistent au ridicule. Et la morale fut claire : Qui veut bannir la voix du peuple finit souvent banni par le rire du peuple. ![]() | ||
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![]() Nous sommes déjà familiarisés avec des expressions comme "faire du ramdam" , faire le zouave ,un vrai souk, etc.... alors bienvenue aux jolis mots nouveaux... et puis il n'y aura pas besoin d'un état islamique, une fois le nombre de coreligionnaires suffisant Faut penser à la com et ne pas choquer les pays qui seront devenus pratiquement nos ennemis. pourquoi pas "république démocratique musulmane" ? ![]() Le nombre fait loi et LFI certains patrons, certains médias jouent sur le temps long en niant l'évidence. Ils ne parlent plus d'intégration d'ailleurs...ils parlent d'accueil, de générosité de chance.. un oubli ? non une envie.de devenir minoritaire par une auto détestation qui relève de la psychiatrie Ils peuvent paraitre impatients, car une pensée plus à droite se relève lentement de ses cendres, et il ne faudrait pas que ce beau projet capote dans une violence trop précoce pour être efficace. La grande peur des individualistes et des minorités protégées ; une politique ciblée de relance de notre natalité.....bonne chance à tous, hein mon colonel ? | ||
Mais aujourd'hui , la methode a changé , il s'agit d'entrisme.. on vient pour faire le boulot dont personne ne veut mais qui s'avère indispensable. on importe des pauvres pour pousser la consommation. mais on ne s'intègre qu'a la marge, grâce a la religion ce qui fait augmenter le nombre de "réfractaires" a l'intégration qui impliquent aussi les generations nées en france..restées pauvres Il n'y a aucune naïveté chez les politiques , tout se recupere surtout a gauche qui vit de la frustration des gens qui n'ont pas su comprendre que l'ascenseur social est un escalier quand on a pas la chance d'appartenir a la classe moyenne au départ.. En clair on applique la methode romaine qui consistait a avoir des esclaves.. jusqu'au jour ou .. Pour la gauche la seule issue serait de changer de peuple.. elle essaie c'est son ambition | ||
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