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Albatros échoué au bord de mon ardeur, Exilé. Invisibles tes larmes. Figé Dans les méandres de mes souvenirs, ton coeur De marbre, s'est rompu, aux risques de m'aimer. Aucun de tes tourments jamais ne m'affligea, Du fracas de ta voix à mon oreille hantée, Au grisant appétit… Tu me troubles déjà, Amant ressuscité sous mes doigts aiguisés. Ténébreux ! Au diable ma flamme ne sut pas En ton corps adoucir les frasques de l'enfant. Un homme, devant moi, s'aguerrissait, son pas ligne discontinue, sur le mien s'absorbant. Te conquérir en vrac, vaines démonstrations, Tes peurs te dérober, tes pulsions abolir, Te rendre consommable jusqu'à l'oppression, T'aimer, libre en tes accessoires, se nourrir, Fortifiés en nos âmes se désinhibant Du spectre de la mort à jamais éloigné. Tournoiement de comètes ! ensemble, vivants ! Caressant est l'espoir qu'incarnent nos baisers. | ||
... Vous avez visité la Lune autant que le Soleil, Passant du froid au chaud, de la veille au sommeil Vous savez que toute chose impose son contraire... Et chacun porte son double et ne peut s’y soustraire. £ | ||
Citation: Boiteux ce quatrain : Vous avez visité tant lune que soleil ou Vous avez visité la lune et le soleil ou Vous avez vu la lune autant que le soleil Passant du froid au chaud, de la veille au sommeil Sachez que toute chose impose son contraire Chacun porte son double et ne peut s'y soustraire ![]() | ||
Me répond-t-il ignoramment. ![]() | ||
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