Le site de la rencontre amoureuse sérieuse.
N°Annonce

Mot de passe

Garder en mémoire

<< Précédent | faut il recréer les galères ?| Suivant >>
02/09
Jadis, les voleurs de pain pouvaient se retrouver enchainés aux avirons de ces navires....
Aujourd'hui, on trouve des excuses au voleur de pain qui poignarde le boulanger réfractaire...
Existe-t-il un juste milieu à ces deux évènements d'époques différentes ?
02/09
les galères comportent des avantages certains
1) c'est bon pour la planete c'est eco-responsable , donc les verts seraient forcés de soutenir
2) C'est bon pour l'emploi ,le RN aurait un foule de candidats pour la chiourme
3) Le taux de recidive devrait baisser sensiblement pour Retailleau
On pourrait faire d'une pierre deux coups , en armant des "bateaux -mouches galères" ça attirerait immanquablement les touristes "MAGA" , les émiratis pour un tour sur la seine ,et rendrait ringards poutine et les chinois qui seraient pour le coup verts de rage
Voila une idée qui pourrait sauver bayrou , qui en connait un rayon sur l'art de ramer
je l'appelle de suite
02/09
allo françois?
oui Alex
j'ai une idée pour toi..

3 jours plus tard

Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs les députés,

Aujourd’hui, je viens devant vous non pas pour défendre une réforme technique ou un budget austère, mais pour célébrer une victoire éclatante : la réintroduction des galères sur la Seine.

Oui, vous avez bien entendu : la galère. Cette institution séculaire, injustement caricaturée comme synonyme de souffrance, renaît désormais comme vecteur d’écologie, d’emploi et de rayonnement national. Et croyez-moi, mesdames et messieurs, c’est une révolution douce mais implacable.

Premièrement, l’écologie.
Alors que Moscou continue de brûler son mazout sur des croisières qui puent autant que leur diplomatie, alors que Pékin noie le marché sous des navires électriques gorgés de lithium arraché aux entrailles de l’Afrique, la France a choisi l’intelligence : la rame. Zéro émission, zéro dépendance, zéro compromission. L’énergie humaine est propre, renouvelable et, surtout, enthousiaste quand elle est fournie par des touristes en quête d’authenticité.

Deuxièmement, l’emploi.
Chaque galère mobilise des dizaines de rameurs, des batteurs de tambour, des charpentiers, des guides polyglottes, des maîtres de manœuvre. Nous ne créons pas des “jobs ubérisés” : nous créons des carrières de fierté. À l’heure où certains importent des containers de misère sociale, nous exportons de la sueur heureuse et de la dignité retrouvée.

Troisièmement, la politique.
Mesdames et messieurs, permettez-moi un mot franc : les Russes ricanent jaune, les Chinois pleurent dans leurs cales. Eux qui pensaient nous faire plier sous leurs cargos et leurs batteries, nous les avons pris à contrepied avec une arme qu’ils ne possèdent pas : notre patrimoine. La galère, loin d’être un archaïsme, devient la pointe avancée de notre modernité politique. C’est la revanche du bois sur l’acier, du rythme sur le moteur, de la liberté sur la dépendance.

Alors, mesdames et messieurs les députés, je vous le dis avec solennité et un brin de fierté nationale : oui, la France rame. Mais elle rame ensemble, elle rame propre, et surtout, elle rame vers l’avenir.

Vive la galère ! Vive la Seine ! Vive la République et vive la France !
02/09

Répondre

Page 1

<< Précédent | faut il recréer les galères ?| Suivant >>